SITE DE SRI AUROBINDO ET LA MÈRE
      
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Mère

l'Agenda

Volume 10

23 août 1969

J'ai vu Y hier. Elle m'a raconté ce qu'elle voulait faire: sa nouvelle méthode d'éducation... C'était plutôt amusant!... Il paraît que dans une boîte, il y a la reproduction minuscule d'autant de choses terrestres qu'il est possible d'en représenter: hommes, animaux, objets, maisons, etc. Tout cela est mélangé dans une grande boîte et il y a une sorte de table, et alors on met les grands, les petits, tous ensemble là, et on leur donne un temps fixe (je crois): il faut qu'ils fassent quelque chose sur la table avec les objets – absolument libres, ils font ce qu'ils veulent. Et il paraît que d'après ce qu'ils font, l'usage qu'ils font des objets et l'assemblage, on connaît leur caractère... Alors elle m'a raconté, comme illustration, que l'on a mis là un homme (elle ne m'a pas dit qui c'était), mais il paraît que c'est un sage, un sage qui connaît l'existence du yoga, et le résultat de son travail était comme cela: un Peau-rouge qui visait pour en tuer un autre, l'autre Peau-rouge qui visait pour en tuer un autre, et un troisième Peau-rouge qui visait pour en tuer un autre – quatre comme cela, à la suite. Et alors, le dernier Peau-rouge (le quatrième) visait pour tuer un lion, et le lion se précipitait pour tuer une biche... Et voilà son tableau! Et il a dit que ça, c'était comme une image de la vie...

Et d'après cela, ils sont sûrs qu'ils connaissent son caractère! (Mère éclate de rire, moqueuse)... J'ai trouvé ça prodigieusement amusant!

Mais le sage a dû faire une bonne plaisanterie (!) il a dû se ficher d'eux et ils ne s'en sont pas aperçus. Ils ont pris cela sérieusement... On lui a demandé, paraît-il, ce que c'était; il a dit: «Ça, c'est la vie...» Nous, nous voyons dans ce sens-là, mais c'est dans l'autre sens: c'est-à-dire que ça commence par le lion qui court après la biche, puis le Peau-rouge vient empêcher le lion et tire dessus, puis... Ça m'a amusée beaucoup!

Elle est convaincue que c'est le moyen de découvrir le caractère.

Mais ça m'a l'air très superficiel, tout cela.

Tout à fait!

Tout à fait. Mais naturellement, tout ce qu'ils font est superficiel. Ils ne connaissent pas même l'existence d'une profondeur. Ou si on leur en parle, ils la nient.

Non, mais ceux qui organisent cela, qui sont censés connaître l'existence d'une profondeur, pensent qu'à travers un jeu comme cela on touche une profondeur?

Je ne crois pas qu'ils pensent cela. Je crois que l'on considère qu'ils sont arrivés au maximum du développement mental.

C'est l'éducation des enfants, pris tout petits. Et on les laisse libres dans un endroit, et ils font ce qu'ils veulent – absolument libres, avec à leur disposition tout ce qu'il faut. Et alors, ceux qui passent leur temps à se battre, on dit: ils ont un caractère combatif! (Mère rit) Il y en a d'autres qui restent tout seuls, d'autres qui se mettent ensemble – d'après tout cela, on décide quel est leur caractère. Alors, elle veut faire cela à Auroville. Je lui ai dit: «Comment les empêche-t-on de se blesser, ou les accidents graves?» Elle m'a dit qu'il faut les mettre dans un endroit où ils peuvent tomber sans se faire de mal – ça me paraît un peu insuffisant! Mais en tout cas, c'est l'idée. Et elle veut faire ce jardin au bord de la mer. Je lui ai dit (riant): «Comment allez-vous empêcher qu'ils se noient!» Elle m'a répondu: oh! on mettra une barrière dans la mer pour qu'ils ne puissent pas aller plus loin (elle a déjà choisi l'endroit, près de la cabane de F, ils veulent même s'approprier l'un des endroits que F a achetés: on les mettra là), j'ai dit: «Il y a des requins dans la mer.» Alors ils comptent sur leur barrière pour empêcher les requins – il faudra qu'elle soit forte!... Ils me paraissent vivre dans leur imagination, ces gens.

Et puis ils sont tellement convaincus qu'ils savent, qu'il n'y a rien à dire. De temps en temps, je fais une plaisanterie pour voir – oh! brr!...

Ce qui me frappe là-dedans, c'est que tout cela m'a l'air très vieux.

(Mère rit)

Il n'y a aucun levier du futur là-dedans.

Non, rien. Rien.

Et alors, comme bouquet, pour surveiller les enfants, c'est A qui va aller vivre là – A!! Et c'est A qui a appris en Suisse cette manière nouvelle de décrire le caractère des gens, c'est lui qui l'a rapporté, et ça l'intéresse... furieusement. J'ai simplement dit à Y: j'espère qu'il n'y aura pas d'accidents. Alors elle m'a dit: oh! plus tard, quand nous aurons l'argent, nous ferons le jardin à «Auromodèle», et alors on le fera avec toutes les précautions nécessaires. J'ai pensé: il vaudrait peut-être mieux attendre... Mais pour avoir l'argent, il faut qu'ils fassent quelque chose (c'est comme cela: il faut commencer par faire quelque chose, et après on vous donne l'argent pour le faire)... Moi, je ne dis rien, n'est-ce pas (Mère croise les doigts sur sa bouche). Je l'ai nommée «responsable à la direction de l'éducation d'Auroville» (Mère rit beaucoup). Elle m'a dit, d'ailleurs, qu'elle veut avoir un compte en banque au nom de «Auroéducation» – tu sais pourquoi? Parce que ces jeunes Américains qui sont arrivés en visite ici (tu es au courant?), une douzaine à peu près, je les ai tous vus... des gens tout à fait ordinaires. Ils m'ont demandé: qu'est-ce que c'est que la responsabilité?!... Des choses comme cela.

Oui, tu m'en avais parlé.

Eh bien, ces jeunes gens sont tous allés voir Y, et elle leur a montré ce qu'elle voulait faire – Y m'a dit qu'ils étaient enthousiastes, qu'ils avaient dit: «Enfin nous avons trouvé ce que nous cherchions!» Et alors, l'une d'entre elles (ce sont des filles qui ont vingt, vingt-deux ans) lui a dit: donnez-moi votre numéro de banque pour que je puisse vous envoyer ma contribution. Y n'avait jamais osé espérer chose pareille, elle m'a dit: figure-toi, on va m'envoyer de l'argent!... J'ai dit: oh! c'est très bien.1

Ils me paraissent tous être des enfants.

Oui.

Enfin, on va voir!

Je ne veux pas intervenir, je veux voir. De temps en temps, j'envoie un petit mot collectif, comme cela... Mais je n'interviens pas.

Oui, ce que, moi, je regarde avec curiosité, c'est TA façon d'agir avec Auroville.

Moi!

Ou de ne pas agir, je ne sais pas!

Ça t'étonne?

Non-non! mais j'essaye de comprendre!

Aaah! tu ne comprends pas?...

Peut-être que tu veux les conduire au bout de leur sottise... Ou peut-être que leur sottise est au niveau actuel nécessaire?!

Mais mon petit, leur sottise est un maximum d'intelligence dans le monde!... Tu ne sais pas comment c'est, le monde, tu as oublié?!

De temps en temps, je vois.

(Mère rit) De temps en temps, j'ai des nouvelles par Z, il me dit les conditions extérieures – c'est ef-fro-ya-ble!... Comme par exemple l'Unesco – l'Unesco est le leading association [une sommité], n'est-ce pas, alors ils en sont encore à la «tolérance»!

Tu as oublié comment c'est?

Pas tout à fait!

(Mère rit) Pas tout à fait...

De temps en temps, j'ai des réactions justement. Je m'aperçois que l'on ne comprend pas... Plusieurs fois, j'ai essayé de dire certaines choses comme je les sentais ou je les voyais, et j'ai vu que j'avais fait un scandale effroyable...

(Mère rit beaucoup)

Comme si c'était une atteinte à leur vie!2

Oui, oh!... Et n'est-ce pas, si l'on demande (ce sont des gens véridiques qui me l'ont répété), si l'on demande à Y, elle dit: «Le Bulletin, c'est passé», «L'enseignement de Sri Aurobindo, c'est passé.» Et eux, ils sont en avance. Et ils sont tellement convaincus!... Et elle a choisi M comme dieu de sa nouvelle création, alors tu comprends...

(silence)

Ce que je fais maintenant, c'est... (Mère croise les doigts sur sa bouche)... parce que cette Force, cette Conscience est là (geste de pression) et elle travaille, et je la vois travailler, et elle se sert de tout ça d'une façon merveilleuse pour... pour mettre les gens (geste contre le nez) en présence d'eux-mêmes.

Il y a un endroit («Promesse» et «Auro-orchard», tout ce coin-là qui s'occupe d'agriculture), il y a des Français, il y a des Suisses, il y a des Italiens (il y a même des Indiens!), ils sont tous à se disputer... tout le temps. De tous les côtés, on se plaint à moi: on demande mon support. Alors c'est prodigieusement instructif. Moi, je suis là (Mère croise les doigts sur sa bouche), et de temps en temps, je laisse tomber une goutte. Les X, par exemple, régulièrement, une ou deux fois par semaine, m'envoyaient une plainte contre les gens qui habitent là-bas (tantôt les uns, tantôt les autres, tous y passaient les uns après les autres). La première fois, je n'ai rien dit, mais après quelque temps (riant), j'ai simplement dit (je ne me souviens plus des mots mais du sens), que la vraie conscience pour être à Auroville est de regarder d'abord ses propres défauts avant de se plaindre des défauts des autres, et de se corriger avant d'exiger que les autres se corrigent (je l'ai mis d'une façon plus... littéraire), et je l'ai envoyé. Depuis ce moment-là, silence, un silence total: je n'existe plus – je ne viens pas donner un support à toutes leurs petites querelles, alors je n'existe plus.

Mais ça, c'est une façon de pétrir la pâte... Il faudra ou qu'ils changent ou qu'ils s'en aillent – sans rien leur dire, il n'y a besoin de rien leur dire, il n'y a que la pression de la Conscience. Ou ils doivent changer, ou ils seront obligés de s'en aller.

Ce n'est pas une méthode particulière à cette personne-ci (Mère se désigne elle-même): c'est la méthode de cette Conscience.

Je vois très bien la façon dont elle travaille: elle met une pression pour que tout ce qui résiste dans la nature de quelqu'un, vienne à la surface et se manifeste, et alors le ridicule ou le mauvais de cette chose devient évident, et il faut ou que ça s'en aille ou que... J'ai remarqué cela. C'est sa manière de procéder.

Mais alors, justement avec cette pression, on s'aperçoit que les gens sont toujours dix fois plus bêtes qu'on ne le pensait – eux n'en savent rien (mais c'est l'habitude, on est généralement très inconscient de sa propre bêtise), mais même quand on pensait être conscient de ce qu'ils étaient, on n'allait pas jusqu'à toucher du doigt ce qu'ils étaient!3

(silence)

À Y je n'ai rien dit, excepté une seule chose: j'espère qu'il n'y aura pas d'enfants qui se noieront. C'est tout. Rien d'autre. Alors elle a fait une figure... Je crois qu'elle n'y avait jamais pensé, elle n'avait jamais pensé à cette possibilité!

(long silence)

Tu sais que les élections [présidentielles] ont eu lieu, et qu'il y avait trois candidats. Parmi les trois, il y en avait un4 qui m'avait semblé le plus capable de donner à l'Inde sa vraie place parmi les pays de la terre – on m'a répondu immédiatement que c'était fantasmagorique, que c'était tout à fait impossible. Je n'ai pas insisté. On m'a dit: «Voilà les trois candidats» (je te l'ai dit la dernière fois), alors je n'avais qu'une solution, un moyen, c'était de concentrer – concentrer avec une aspiration – et de demander que ce soit le meilleur pour le pays qui arrive. C'est le message que j'ai envoyé à Delhi; je leur ai dit: «J'ai reçu l'assurance que ce qui arriverait serait le meilleur pour le pays» (dans les conditions actuelles). Il y avait donc un homme qui avait de la valeur – aucune chance; un autre qui était très vieux,5 et un autre6 qui est un homme intègre et capable, avec des qualités, mais qui est un peu en arrière, c'est-à-dire accroché au passé, et il était tout à fait épouvanté par les décisions qu'Indira avait prises.7 Alors, officiellement, il était contre sa manière de gouverner... Cet homme m'a envoyé ses photos en me demandant ma bénédiction; j'ai mis «bénédiction» sur l'une de ces photos,8 je l'ai donné à L et je lui ai dit (tu sais qu'il est parti à Delhi): «Comme vous serez là-bas, si vous voyez que c'est possible, rencontrez cet homme, donnez-lui la photo en lui disant: voilà, Mère vous envoie ses bénédictions, mais elle vous prévient qu'elle est derrière la façon d'agir d'Indira...» Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais le jour de l'élection, j'étais comme cela: AUCUNE pensée active, simplement: «Le mieux du pays, le mieux pour le pays» – et c'est le vieux qui a passé!9... Et non seulement il a passé, mais il m'a envoyé un télégramme pour me remercier! Alors tu comprends, cela te donne exactement la position. C'est comme cela10...

Activement, extérieurement, je n'aurais jamais pu dire: «Choisis-sez cet homme-là»; seulement j'ai dit: «Le mieux pour le pays.» Je ne sais pas pourquoi ni comment parce que... parce que notre conscience humaine est toute petite, mon petit! Même quand on s'identifie à la Conscience générale, on a l'impression d'être si petit, si microscopique en comparaison de la Conscience véritable qui contient tout. Nous ne pouvons pas contenir tout! Même, même quand nous nous identifions à cette Conscience, nous devenons comme cela (geste indiquant le vide à hauteur du front), absolument silencieux et immobile, avec seulement une Vibration lumineuse immense, n'est-ce pas, infinie, et un pouvoir infini aussi, mais... (même geste au front) aucune traduction d'aucune façon, rien qui ressemble à une pensée. Et alors, si nous voulons intervenir entre Ça et les circonstances, nous sommes obligés de nous tromper, nous ne pouvons pas faire autrement! Alors il n'y a qu'à rester comme cela (geste immobile, tourné vers le haut). Et c'est pour cela que je suis comme cela, silencieuse. Tu me disais: «Je ne comprends pas ta façon d'agir à Auroville...», ce n'est pas autre chose que cela. C'est parce que notre pensée limite, oppose – même, même la conscience la plus vaste, tu comprends, n'est qu'une conscience terrestre, une conscience terrestre et... c'est tout petit. C'est tout petit. Et c'est surtout tout petit au point de vue des conséquences, de la suite des circonstances (Mère dessine une trajectoire), de comment ceci va apporter cela – nous ne voyons pas. Alors il faut être comme cela (geste tourné vers le haut), et simplement laisser cette Conscience agir... Et voilà quel a été le résultat: c'est le troisième qui a passé, ça m'a bien amusée! Bien amusée, j'ai dit: voilà!

Dans ma vision (je ne peux pas affirmer qu'elle soit supramen-tale, mais en tout cas elle était très au-dessus d'une vision mentale), l'homme que j'avais choisi [Deshmukh], et tout le monde a pouffé de rire pour me dire que c'était une impossibilité – c'était la chose qui pouvait rendre l'Inde grande immédiatement. Immédiatement, ça donnait une place à l'Inde dans le monde, qui était sa vraie place. Tout le monde a trouvé cela profondément ridicule. Et alors, on m'avait donné à choisir entre trois candidats, et c'est celui qui est de toute évidence le plus incapable qui a été choisi comme... comme celui qui aidait le plus au développement et à l'épanouissement de l'Inde. Voilà.

Après cela, il n'y a plus qu'à se taire.11

Et tu sais ce télégramme... (Mère cherche auprès d'elle et tend le télégramme au disciple)

«Deep gratitude for blessing. I am always at thy services.»12

V.V. Giri

Il a été élu et le télégramme a été envoyé immédiatement, les heures coïncident... tu ne trouves pas cela intéressant?

Si, très.

(silence)

C'est après une quantité considérable de constatations de ce genre que j'ai commencé à être comme cela: simplement mettre, presque par force (Mère abat ses deux bras), le contact de la Conscience Suprême avec la terre. C'est tout.13

(silence)

F m'a dit qu'il y avait un bout de terrain là-bas au bord de la mer, où tu aimerais avoir une cabane?

Oh! tu sais, c'est une façon de parler!

Mais non! Dès qu'elle me l'a dit, je lui ai répondu: «Eh bien, on s'arrangera.» On va essayer de l'avoir. Heureusement que ce n'est pas trop près de leur futur Kindergarten!

Il y a un petit bout de dune ou de colline, là, qui est très joli.

Ah!

Alors, par hasard, nous nous sommes assis là et j'ai dit: tiens! ce serait bien d'avoir une cabane ici...

Mais ce n'est pas à nous encore.

Mais, douce Mère, je n'ai aucune idée ni même désir...

Oui, oh! je le sais bien, c'est simplement comme tu le dis: on sent un courant qui passe et on dit: oh! ce serait bien... – Pourquoi pas! (Mère rit) On est toujours obligé de faire quelque chose – tant que l'on est ici, on fait quelque chose –, il vaut mieux faire les choses qui vous mettent en contact avec le courant le plus harmonieux!14

Mais je dois dire qu'au point de vue de l'action (même pas seulement de l'action matérielle parce que l'action matérielle, je n'en ai pour ainsi dire plus), mais de l'action invisible, j'ai BEAUCOUP appris avec cette Conscience, beaucoup. Elle a... nous avons des moyens très enfantins et elle a... elle a un sens de l'humour, tu sais! admirable, une façon de mettre les gens en face de leur stupidité, qui est vraiment... vraiment charmante. Et je vois cela tout le temps, tout le temps, tout le temps, pour de toutes petites choses, pour de grandes choses, pour la politique d'un pays ou bien pour l'organisation d'une maison – tout la même chose. Et avec une ironie délicieuse – et si bienveillante: il n'y a aucun sens de réprobation, de... L'idée du mal, de la faute, de tout cela – prrt! tout parti.

C'est seulement la pression de la Conscience sur l'inconscient – et alors, chez les gens, la mesure de la résistance qui vient de leur réceptivité. C'est comme cela. Chez certaines gens (et pas toujours ceux qui sont apparemment mauvais), il y a une résistance!... C'est comme... comme du fer. Et d'autres...

Ça va beaucoup plus vite. En ce moment les choses vont vite.

Nous allons voir, nous allons voir!15... (Mère rit)

L'enregistrement du son fait par Satprem    

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1 L'enregistrement du début de cette conversation n'a pas été conservé.

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2 Le paragraphe suivant a été omis de l'enregistrement.

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3 Les deux paragraphes suivants ont été omis de l'enregistrement.

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4 C.D. Deshmukh.

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5 V.V. Giri.

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6 Sanjiva Reddi.

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7 La nationalisation des banques.

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8 C'est cette photo qui arrivera huit ans plus tard, juste au moment où S. Reddi sera nommé Président à la suite de nouvelles élections.

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9 V.V. Giri, âgé de 75 ans.

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10 L'enregistrement reprend ci-après.

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11 Le paragraphe suivant a été omis de l'enregistrement.

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12 «Ma profonde gratitude pour votre bénédiction. Je suis toujours à votre service.»

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13 Tout le fragment qui suit a été omis de l'enregistrement.

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14 En fait, quatre ans plus tard, le disciple s'installera dans le jardin de Nandanam à mi-chemin entre Pondichéry et Auroville. (L'enregistrement reprend ci-après.)

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15 Il existe un enregistrement de cette conversation.

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