Mère
l'Agenda
Volume 13
(Mère caresse les fleurs que Sujata lui a apportées.)
Mon rhume continue...
(Satprem:) Mais tu as l’air mieux, douce Mère.
Oui. Ce n’est pas un «rhume».
Oui, je m’en doute... J’ai eu l’impression qu’il y avait un cyclone... un vrai cyclone au-dedans.
(Mère rit) Il y A EU un cyclone au-dedans.
(silence)
C’est évident. Tout est combiné pour qu’il n’y ait... (je ne sais pas comment dire en français) reliance, qu’il y ait le point d’appui seulement sur le Divin. Et le «Divin», on ne me dit pas ce que c’est – voilà! admirable!... Tout le reste s’écroule, seulement le... le... le quoi? Le Divin, quelque chose – quoi?...
On sent. Il n’est pas question de le décrire ni de le définir ni... rien de tout ça.
(silence)
C’est comme une tentative pour vous faire sentir qu’il n’y a pas de différence entre la mort et la vie. Voilà. Que ce n’est ni la mort ni la vie – ni ce que nous appelons la mort, ni ce que nous appelons la vie –, c’est... quelque chose.
Et ça, c’est quelque chose de Divin.
Ou plutôt, c’est notre prochaine étape vers le Divin.1
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